Merci pour cette gazette !
Ca permet de découvrir l'âme poétique de Rabiere lorsqu'il prend du café !
Concernant l'éditorial sur les réseaux sociaux, je regrette qu'Alex n'est pas rappelé l'importance de protéger ses informations personnelles.
Il est de plus en plus courant que les comptes Facebook (personnels surtout) soient visibles et accessibles par tous. Pour certains, c'est voulu, pour d'autres non.
Le plus remarquable est de voir, que contrairement à ce que pensent certains adultes, ce ne sont pas les plus jeunes qui sont les moins bien protégés au niveau de la confidentialité (internet est devenu presque inné ce qui fait que les jeunes savent tout de suite paramétrer un compte de réseau social), mais bel et bien les adultes eux-mêmes. Pour preuve, regarder les comptes Facebook de vos professeurs d'université par exemple (vous découvrirez avec stupéfaction, d'ailleurs, que ce sont de grands enfants !).
D'autre part, nombreux sont ceux qui dévoilent leurs soirées, arrosées sinon ce n'est pas drôle, où les personnes tags leurs amis dans des situations des plus... dérangeantes, ou alors tout simplement dans un état ivre. En France, la consultation par un recruteur d'un réseau social, autre que ceux professionnels, n'est pas encore devenue courante, mais ça ne serait tarder. Aux USA et dans d'autres pays européens, il est coutumier qu'un recruteur le fasse, et de telles photos vous sont généralement défavorables. Surtout que, même si les photos sont supprimées, vous pouvez toujours les voir ! Notamment en faisant une simple recherche dans Google images. Ceci pose d'ailleurs la question que beaucoup de juristes et internautes préconisent : le droit à l'oubli (un droit qui permettrait au bout de 5 à 10 ans de supprimer totalement d'internet des éléments personnels : c'est beau, mais irréaliste : Comment le faire ? Qui pourrait le faire ? Qu'Est-ce qui serait considéré comme personnel sachant que selon l'ordre juridique la définition n'est pas la même, etc.).
Enfin, Facebook n'est pas le plus "destructeur" au niveau d'une e-réputation (réputation sur internet). La principale plateforme qui peut rester vous créer certaines barrières est le petit oiseau bleu Twitter. On peut penser que ce qu'on tweet est rapidement absorbé, mais il est très facile de remonter à tous les tweets que vous ayez envoyé (donc précaution, notamment pour les propos politiques, qui peuvent pour un recruteur vous ficher).
Le problème n'est pas tant la vie privée, mais plus l'apparence que vous allez véhiculer à travers ses plateformes. Les immixtions dans la vie privée existent depuis de nombreux siècles, bien avant la création d'internet, et ce n'est pas prêt de s'arrêter (cf : NSA).
Je pourrais continuer, mais le repas m'appelle. Je reprendrais peut-être plus tard.
Bonne journée
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Merci à toute l’équipe ! 
