[Random Legacy] Un nom qui perdurera ?
Rappel du premier message :
Bonjour, bonsoir les Amaz'iens !
J'ai décidé de vous partager les aventures de la jeune et jolie Eleanor, fondatrice d'un Random Legacy !
Dans cette aventure, vous risquez de croiser des personnages présents dans ma galerie. Avant de commencer à vous conter l'histoire de ma famille, je dois préciser que toutes les descriptions faites auparavant sur ces sims ne doivent pas être prises en compte pour cette histoire : ils possèdent en effet de nouvelles histoires, de nouvelles personnalités que vous allez découvrir avec le temps.
Alors voilà, c'est à peu près tout. En avant pour le tirage !
4 - 2 enfants
2 - Carrière conventionnelle (lancer dans C1)
14 - Culinaire (Mixologue) - Peut publier des guides de bar en auto-édition.
5 - Pêcheur - Vendez tout ce que vous pouvez attraper
3 - Enfants parfaits : Tous les enfants nés dans cette génération doivent compléter leur aspiration d'enfant et recevoir un B à l'école élémentaire et un A au lycée. Ils doivent également avoir un meilleur ami pour la vie pendant l'enfance et au moins un petit ami ou petite amie pendant au moins 24h Sim durant leur adolescence. En tant que bambin, ils doivent atteindre le niveau 3 de chaque compétence, y compris l’apprentissage du pot, et avoir au moins une compétence au niveau 5.
23 - (Cie Citadine) Fanatique du marché aux puces – Certains Sims ne peuvent pas passer à coté d’une bonne affaire. Pourquoi payez-vous le prix fort pour quelque chose ? Pour cette génération, vous ne pouvez pas acheter certaines catégories d’articles du catalogue. Ces articles peuvent uniquement être achetés sur le marché aux puces ou par les Sims PNJ vendant leurs propres marchandises dans la rue. Les peintures laissées sur les chevalets publics comptent.
Les catégories sont :
Confort (excepter les lits)
Eclairage
Décoration (excepter les miroirs)
Voilà... C'est parti pour l'aventure !
Avant toute chose, il est nécessaire de préciser quelque chose : Eleanor Pécriaux est tête en l'air.
Mon Dieu, je me suis déjà paumée ! Mais c'est pas vrai ! C'est pas possible ! Bon, allez, ça va le faire. Normalement, c'est ici, pas vrai ? Imagine je me suis plantée d'immeuble ! Mais quelle courge ! C'est bien l'immeuble de la photo, non?
Plus aucun doute, c'est ici. Bon... Alors on va avancer dans le couloir et essayer d'ouvrir toutes les portes. Courage, Elea..
Si seulement j'arrivais à me souvenir du numéro ! J'espère que le voisin n'est pas nu comme un ver juste devant sa porte.
Parce que franchement, là, je crois que ce serait mal commencer sa vie.
La jeune femme n'eut pas à chercher longtemps : à cet étage, il n'y a que deux appartements. La première tentative fut concluente. Ils ont livré mon bar !! Bien, ça, c'est fait. Au moins, les meubles étaient déjà installés, l'appartement était assez mignon et, en croisant les doigts, Eleanor se disait qu'elle arriverait à payer son loyer tous les mois.
Faire un petit tour dans son nouveau chez-elle ? Tester le canapé ? Se reposer du long voyage ? Non, non et encore non. Car à la simple vue de son bar, Eleanor s'est littéralement jetée dessus. Au moins, elle avait de la volonté : c'est en parti pour ça qu'elle avait quitté sa province pour s'installer en ville. Son rêve demeurait le même depuis l'adolescence : être mixologue. Mais pour trouver un bar à Sunset Valley... Il fallait être patient. Et surtout être proche de Monsieur le Maire...
C'est bizarre, il n'y a pas de lumière. Je vais faire comment moi, la nuit, si je dois aller faire pipi ? J'ai peur du noir !!
Elle prit son verre et dégusta sa boisson. Il y a encore des progrés à faire, se dit-elle en manquant de tout recracher sur le tapis du salon.
Les voisins, enfin ! Je commençais à croire qu'ils n'arriveraient jamais, et que ma petite Eleanor était condamnée à vivre seule... Peut-être avec un chat. Oh un chat ! Je vais noter cette idée quelque part. *tousse tousse*. Je disais donc...
Elea : Bonjour ! Vous êtes les voisins, c'est ça ? Entrez, entrez.
- Pourquoi la lumière est éteinte ? demanda la jolie blonde, entrée la première.
Elea : Euh, je sais pas...
- Il y a un interrupteur là, en fait... fit remarqué la voisine d'en face, Jesminder
Elea : Ah ! Merci beaucoup ! Je suis un peu tête en l'air, vous voyez...
D'autres voisins suivirent. Elea apprit alors qu'il s'agissait d'habitants de l'immeuble d'en face. Le quartier des épices avait l'air très prisé par les jeunes. La jolie blonde s'appelait Mélanie.
Mélanie : J'ai une coloc, Alexia, mais elle n'a pas réussi à se lever aujourd'hui.
Ok super...
Elea avait un peu de mal avec les prénoms des autres. Elle ne cessait de confondre Jesminder avec Lizzie, la petite rousse aux airs nonchalants. En revanche, elle n'avait qu'un seul nom d'homme à retenir, c'était facile : Edouard.
Mélanie : Et donc, qu'est-ce que tu viens faire à San' ?
Elea : Je voulais changer un peu d'air. Je viens de Sunset Valley, c'est pas vraiment la même chose... Et surtout, je rêve de devenir mixologue.
Mélanie : Tu risques de croiser Alexia alors ! Elle travaille dans un petit bar près d'ici. Tu veux les références ? Ils embauchent quelqu'un pour faire la vaisselle.
Elea : La vaisselle ?
Mélanie : Haha, pas de panique, il faut commencer au plus bas pour gravir les échelons !
Cette fille me plait bien. Je suis sûre qu'on va très bien s'entendre, elle et moi.
Edouard : Excuse-moi... Tu as bien dis que tu venais de Sunset Valley ?
Elea : Oui, c'est ça. Tu connais ?
Edouard : C'est dingue, j'y allais en vacances quand j'étais tout gosse !
Elea : Oh, c'est drôle, pourtant c'est paumé comme patelin. Regarde, j'ai des photos si tu veux...
Edouard : C'est dingue. ça n'a pas changé.
Si elle s'entendait bien avec Edouard et Mélanie, Jesminder et Lizzie restaient silencieuses. La seconde n'avait pas forcément l'air heureuse d'être ici.
Un accueil en demi-teinte, pensa Elea. Mais un accueil quand même ! Et j'ai même choppé une adresse pour travailler. Finalement, ça commence bien.
Oui, Elea est tête en l'air... Mais quand elle est heureuse ou confiance, plus rien ne l'arrête.
Elea : Vous voulez boire quelque chose ? Je m'y connais en mixologie, et mon bar ne demande qu'à être inauguré par quelqu'un d'autre que moi !
C'est pas le début de la gloire, mais c'est un début. Au moins, Edouard et la rouquine ont bien voulu goûter. Deux sur quatre, c'est franchement pas mal.
Mélanie : Bon, c'est pas tout ça mais on va te laisser, on abuse de ton hospitalité. Il faut que tu t'installes, tout de même !
Edouard : Et je dois rentrer chez moi pour... euh...
Mélanie : Allez, ça va, Ed', pas besoin de cacher le fait que tu es papa.
Visiblement, la joyeuse (ou moins joyeuse) troupe se connaissait depuis longtemps.
Elea : D'accord, très bien, mais n'hésitez pas à repasser.
Mélanie : Je te laisse mon numéro.
Pssssssssssssssssst... Ah, ça fais du bien. C'est le troisième verre que je prend, quand même !
Vers 18 heures, après avoir regardé la télé pendant une bonne demi-heure, Eleanor décida d'appeler le numéro que Mélanie avait laissé : celui de son possible employeur.
Elle hésita quelques instants avant de composer le numéro. Elle avait besoin d'un travail, certes. Mais ce n'était pas cela qui la faisait hésiter. En allumant son téléphone, elle remarqua qu'elle avait reçu une dizaine de messages, tous venant de la même personne... Ne pense pas à ça et supprime son numéro, se dit-elle. Et ta vie commencera vraiment.
Après avoir supprimé ce contact - non sans un pincement au coeur -, elle finit par appeler le patron du bar. Il avait l'air enchanté de recevoir cet appel. Visiblement, la brasserie cherchait une "femme à tout faire" depuis longtemps.
Je ne dois pas m'en faire. Comme l'a dit Mélanie, il faut bien commencer quelque part.
Eleanor aimait préparer des boissons, mais elle aimait également cuisiner. Ses parents tenaient la pâtisserie du quartier. Le week-end, Elea suppliait son père de lui apprendre à cuisiner. Même si son niveau n'était pas exceptionnel, elle aimait passer du temps à préparer des petits repas. Elle en prépara un à l'avance pour le lendemain.
Voilà, j'y suis. Et dire que j'ai attendu ce moment pendant de longues années !
La journée ne pouvait pas être meilleure. Finalement, je ne me suis pas perdue, j'ai rencontré deux personnes sympathiques... Mon appart est cool, j'ai mon bar, et j'ai même trouvé un petit boulot.
Pourtant, cette amertume... Je ne dois pas y penser. J'oublierai.
Fatiguée par le voyage et sa journée, Elea s'installa dans le canapé pour regarder un film. Mais pas longtemps... Elle failli s'endormir devant son poste. Il est temps d'aller dormir ! La jeune femme avait retrouvé son humeur joviale.
Et bien, quelle journée ! Je n'imagine pas la prochaine. J'espère que ça se passera bien, au boulot. Et que je vais bien m'entendre avec cette fameuse Alexia...
Dernière édition par Queenie le 2018-04-26, 17:12, édité 3 fois
Bonjouuur ! Excusez moi pour ces presques deux semaines sans aucun chapitre, c'est de la folie en ce moment mes semaines, entre activités, répétitions générales et révisions de DS ! M'enfin bref j'espère que vous êtes prêts pour la suite des aventures d'Elea, Arturo et Alec !
La vie menait son cours dans la petite maison bleue. Eleanor et Arturo aimaient se retrouver autour de la table, le soir, pour discuter de leurs journées respectives.
Elea : Je sais que c'est un peu de la folie en ce moment, mais je te promet que dès que j'aurai moins de travail, je passerai plus de temps avec toi.
Arturo : Ne t'inquiète pas ma belle.
Elea : Belle ? Je n'en ai plus trop l'impression...
Arturo : Arrête de dire n'importe quoi. Tu es magnifique.
Visiblement Alec n'était pas de cet avis.
Alec : Pourquoi maman gros?
Elea : ...
Alec : Pourquoi maman gros ?
Elea : Non, maman pas gros. Maman fatiguée par ancienne grossesse. Maman travaille et maman stressée. Donc maman mange. Donc... ouais, maman gros.
Eleanor avait enfin entendu ce que pensait son fils de sa taille qui, pourtant, était loin d'être énorme ! Une semaine plus tard, elle y pensait encore, observant la silhouette qu'elle avait sur des photos prisent des années auparavant avec Edouard et M élanie. Elle aimait tout de même son ventre de maman, mais... elle avait peur de ne plus être désirable aux yeux de son mari.
Arturo : Je vais pêcher. à ce midi Elea !
Elea : Goodbye my lover.
Eleanor observa Arturo faire la sieste sur le canapé... Rien ne lui arrivera si je m'absente une petite heure. Elle voulait être jolie, alors elle mis sa tenue de sport qui trainait depuis des années au fond du placard et décida de faire un jogging.
Alec se réveilla dix minutes plus tard.
Alec : Mais où est maman ?
Visiblement pas dans la cuvette.
Arturo : Mais qu'est-ce que tu fais dehors à midi, chaton ? Maman ne t'a pas donné à manger ?
Alec : Maman pas là.
Arturo : Quoi ?
Alec : Mais où est maman ?
Arturo : Oh mon dieu... Reste là Alec. Je reviens dans cinq minutes.
Arturo courru à toute vitesse dans le quartier. Eleanor n'avait aucune raison de sortir aujourd'hui. La peur lui nouait le ventre. Et si il lui était arrivé quelque chose de grave ?
Alec : Plus de parents. Mais où est papa ?
Arturo finit par retrouver Eleanor. En pleine discussion.
Avec Edouard Robin.
La peur se transforma en colère.
Arturo : Mais qu'est-ce que tu fous ici ???
Elea : Calme toi Art. Je faisais un petit jogging quand je suis tombée sur Edouard. Il n'est pas encore midi, si ?
Arturo : Il est midi et demi. Tu as laissé notre fils tout seul.
Elea : Il dort, Arturo !
Arturo : Il ne dors plus ! Tu es complètement irresponsable ! Tout ça pour... pour...
Arturo : Tout ça pour ça ! Je t'ai déjà dis de pas tourner autour de ma femme sal c*n !
Elea : Calme toi !
Edouard : Hé, monsieur je sais tout, c'est qui qui s'occupe de ton gamin pendant que tu te ridiculises devant tout le quartier ?
Arturo : Dégage !
Edouard : J'y compte bien. Salut Elea. Je suis pas le bienvenue ici.
Elea : Salut Edouard...
Arturo : Comment tu as pu me faire ça ?
Elea : Mais tout va bien ! Pourquoi tu viens toujours tout gâcher ?
Arturo : Tu me trompes c'est ça ?
Elea : La confiance règne. Crotte, Arturo, tu m'en crois vraiment capable ?
Arturo : J'étais mort d'inquiétude. Allez, va faire ce que tu veux. Je vais m'occuper de notre fils, moi. Pas la même de me parler aujourd'hui.
Bon là on va pas se mentir, z'ont été très couillons tout les deux. Eleanor n'aurait pas dû laisser son fils seul mais la colère d'Arturo n’est pas placé au bon endroit (surtout que niveau infidélité, bah il peut parler hein).
Les ennuis commencent.
Mais on ne laisse pas un bambin tout seul ! Namého !
Comme dit Lady, ils sont un peu couillons tous les deux pour le coup !
Coucou ! Une nouvelle fois plus d'une semaine s'est écoulée entre deux chapitres, je suis désolée.
Mais me voilà en vacances et après avoir été longtemps démotivée vis à vis de mon Random Legacy, je suis + que prête à poster la suite !
Donc voilà le chapitre 26.
Eleanor n'adressa pas la parole à son mari sur le chemin du retour. Une fois à la maison, elle prit Alec dans ses bras et réalisa à quel point elle avait était bête de le laisser tout seul.
Alec : Maman est là !! Tout l'heure y avait pas maman.
Elea : Oui, maman est là mon coeur. Et elle ne part plus !!
Alec colla sa mère pendant toute la soirée, restant dans ses pattes quand elle préparait le dîner, grimpant sur ses genoux quand elle s'installa sur le canapé, voulant même s'assoir sur son mini bar quand elle s'exerca à la mixologie.
Eleanor : Il est temps de dormir, mon chou !
Alec : Tu pars pas hein ?
Eleanor : Je te le promet Alec.
Alec : Ze t'aime.
Eleanor fut touché par les trois petits mots prononcés par son fils. La culpabilité lui serrait le coeur.
Eleanor : Moi aussi je t'aime. Dors.
Arturo n'avait même pas essayé de lui parler. Cependant, une fois Alec endormi, elle entendit son mari frapper à la porte de leur chambre.
Arturo : Je sais que tu m'en veux.
Elea : Oui, je t'en veux. Mais je m'en veux aussi. Je n'avais pas à laisser Alec seul. D'accord. Mais tes accusations lamentables...
Arturo : Elea...
Elea : Je veux bien reconnaître que je suis irresponsable. Je veux bien reconnaître que je ne suis pas assez proche d'Alec. Que mon boulot occupe tout mon temps. Que peut-être même il te préfère à moi. Mais te tromper... Non. Je sais pas comment tu peux penser ça de moi. Je suis une épouse si horrible ?
Arturo : Non. Et puis tu sais quoi, je pense que c'est inutile d'en parler à chaud. On aura une discussion demain.
Elea : On n'aura pas de discussion demain, ni après-demain, ni jamais. J'ai dis ce que j'avais à te dire. Peut-être que demain, je serai moins inbuvable... Mais j'ai plus rien à te dire concernant ce sujet. Bonne nuit.
Le lendemain matin, Arturo ne se sentait pas très bien. Jamais Eleanor n'avait été aussi froide avec lui. Elle qui était tellement joviale d'habitude ! Il repensait à Marie, et à ce qu'il avait fait..
L'idée qu'Eleanor puisse fréquenter Edouard lui était insupportable, alors pourquoi avait-il fait de même avec Marie ? à partir de ce jour, je serai un mari exemplaire, se dit-il. Il pensa à Alec. Pour lui aussi, la séparation de ses parents serait tragique. Arturo ne voulait pas tenter cet extrême.
Alec : Pôpa ? Ze t'aime.
Alec était dans sa période câlin. Il voyait bien que ses parents se parlaient moins que d'habitude et, même s'il ne comprenait pas tout, il voyait bien que ses déclarations d'amour redonnaient le sourire à ses parents.
Arturo : ça va, chérie ?
Elea (froide, puis plus douce) : Pourquoi ça n'irait pas?! Ah... Ah oui, j'ai des tâches rouges depuis ce matin. ça va passer.
Arturo : Je vais m'ocucper d'Alec au cas où ce soit la varicelle. Repose toi.
Alec : Maman est très g... gentille !
Arturo : C'est bien Alec. Va lui dire. ça va lui faire plaisir.
La vie normale reprenait peu à peu son cours, et les tensions finissèrent par disparaître lentement, mais sûrement.
Elea (en baillant) : Alec ? Qu'est-ce que tu fais debout à 4 heures du matin mon bébé ?
Alec : Maman est très g... gentille !
Elea : Tu es trop adorable toi ! Mais va te recoucher, maman est très fatiguée.
Après ce réveil matinal, impossible pour Eleanor de se rendormir. Alors elle décida de regarder l'émission culinaire qui passait à 6 heures du matin.
Puis, les trois Pécriaux Gomez passèrent la journée à faire ce qu'ils aimaient.
Alec : Quel gros cube !
Elea : Quel gros c*l ! Va falloir que j'arrête de boire tous les cocktails que je prépare.
Elea : Maman part au travail mais elle revient très bientôt d'accord mon poulet ?
Alec : Tu pars pas ?
Elea : Je vais revenir. Papa va s'occuper de toi. Dis à ton papa que tu l'aimes très fort. Sois sage.
Alec : je suis TOUJOURS sage !
Eleanor laissa son fils regarder les dessins animés et s'en alla donc au travail. Son congé de quelques jours était terminé, et les choses sérieuses allaient recommencer.
Maiiis heu pourquoi toutes les héroïnes que je lis dans les legacys en ce moment sont pas contentes de leurs bourrelets d'amour ? Moi j'en veux une qui s'aime avec tout ses kilos, parce qu'aucun n'est en trop !
C'est bien qu'ils aient tout deux reconnu leur bêtise. Bon après je me doute qu'ils vont rester encore un peu ensemble vu qu'ils doivent avoir un autre enfant.
Oui Elea n'est pas si ronde que ça ! ^^
Heureusement que les tensions se sont apaisées, le pauvre Alex aurait été tout malheureux sinon.
Lady ~ Personnellement j'aime beaucoup Eleanor et son petit bidou mais pour le miens de l'histoire j'ai préféré faire comme si elle était complexée :') Faut dire qu'elle ne cesse de se regarder dans le miroir en étant triste ou mal à l'aise dans mon jeu... Alors je l'ai interprété comme ça
Choute ~ Oui elle n'est pas très ronde et je trouve que ça va bien avec son visage, parce qu'elle a une assez grosse tête ^^ Pauvre petit Alec, il est trop trop mignon, il mérite pas que ses parents soient en froid. Il n'est qu'amour ce bout de chou !!
Plus elle avançait dans sa carrière, plus Eleanor travaillait tard. Elle se réveillait généralement vers midi. La journée commençait avec une bonne douche chaude...
Arturo commençait sérieusement à fatiguer. Son train de vie n'était pas exceptionnel, mais tout de même fatiguant. Depuis quelques mois, il n'avait plus le temps de pêcher. Alec avait beau être un bambin charmant et assez autonome, s'en occuper lui demander beaucoup de temps.
Heureusement, il pouvait tout de même compter sur sa jolie femme pour mettre un peu de piment dans sa vie. Les deux parents faisaient en sorte d'éviter les disputes, et avaient instauré un principe de dialogue en cas de différent. Ils étaient plus amoureux que jamais.
Willow Creek était une ville magnifique. Ma ville. Quand il se réveillait, Arturo aimait admirer la nature depuis sa fenêtre. Il ne regrettait pas d'être venu s'installer ici. Il était sur et certain que ce cadre de vie était le meilleur qu'il puisse offrir à son fils.
Alec : Pôôôpa !!!!!!!! J'ai fais un cauchemAAAAAAAR !!!!
Bon, visiblement, la beauté de la nature de Willow Creek ne suffisait pas pour rendre Alec de bonne humeur le matin.
Plus il prenait de l'âge, plus Alec était intelligent. Il montrait de l'intérêt dans toutes les compétences que son père essayait de lui faire développer. Il était vif et curieux, ce qui rendait ses parents très fiers.
Alors qu'il donnait un bain à Alec, Arturo songea à son ancien rêve, celui de fonder une grande famille... Est-ce que c'est encore mon rêve ? Eleanor et lui avaient essayé d'avoir un nouvel enfant, mais ces tentatives n'avaient pas été concluantes. Arturo s'était convaincu lui même que ce n'était pas grave, pour ne pas faire culpabiliser sa femme, ou la decevoir. Et si le problème venait de lui ?
Elea : Dis donc, Art', tu es devenu un vrai cordon bleu !
Arturo : Merci chérie. C'est vrai qu'à force de préparer des petits plats pour Alec, j'ai commencé à m'améliorer.
Elea : C'est délicieux !
Et Eleanor ne disait pas ça pour faire plaisir à son mari. Lui qui était loin d'être un bon cuisinier quand ils commençaient à peine à se fréquenter ! Elea regardait son mari avec fierté.
D'ailleurs, elle avait arrêté de prendre soin d'elle. De toute façon, avec un bambin à la maison et un boulot aussi prenant, elle ne pouvait pas s'accorder du temps pour elle. Elle avait décidé de se concentrer sur ce qui comptait vraiment, et attendait qu'Alec grandisse un peu pour recommencer à se maquiller et à faire un peu de sport. En attendant elle traînait dans la maison en pyjama, et ça ne dérangeait pas Arturo.
Son boulot était crevant... Il lui arriva même de se demander si elle aimait toujours être barmaid. C'était son rêve, autrefois, et elle adorait toujours autant créer des boissons, mais... Ses horaires ne lui plaisaient pas, elle en avait marre des clients qui lui hurlaient dans les oreilles quand elle se trompait de commande, et la pression qui régnait dans le bar ne lui allait pas du tout. Parfois, c'était vraiment difficile...
Heureusement que son mari et son fils étaient là pour lui remonter le moral. En les regardant jouer, Eleanor se disait qu'elle ne pouvait pas baisser les bras. Ils étaient sa force.
Elea : Je suis vraiment fatiguée en ce moment.
Arturo : Moi aussi. Mais ne t'inquiète pas. J'ai prévu quelque chose pour demain.
Elea : Ah oui ?
Arturo : Je vais profiter que Madame soit en congé pour t'emmener quelque part..
Héhé ! Cette fatigue serait elle due à la seconde grossesse ?
Où va t'il l'emmener ?
J'ai hâte de voir la bouille d'Alec enfant tout de même !
Comme Choute, j'ai bien envie de voir Alec enfant d'ici quelques chapitres.^^
Allez faut faire un second bébé !
Dernière édition par LadySquirrel le 2018-04-27, 00:22, édité 1 fois (Raison : Alex, Alec... j'étais pas loin hein...)
Choute ~ Tu auras ta réponse dans ce nouveau chapitre ! Tu verras également très bientôt la bouille du petit Alec, c'est une question de trois chapitres... Enfin deux maintenant puisque le 28 est dispo juste en dessous !
Lady ~ Héhé il arrive très bientôt le petit Alec enfant ! D'ailleurs c'est trop bizarre pour moi, car dans mon jeu c'est actuelle un adulte :') Quand au nouveau bébé, on y croit !
C'était le week-end, Eleanor était enfin en congé... Arturo tînt sa promesse et décida d'emmener sa femme à San Myshuno pour une sortie en amoureux. Il avait l'impression de ne pas avoir passé un moment seul avec elle depuis des années !
Le couple avait prévu d'aller voir Mélanie et Pierre, qui vivaient désormais dans un appartement plus grand dans le quartier de la mode. Malheureusement, leurs amis avaient prévu autre chose ce jour là, alors ils ne se virent qu'une petite demi-heure au parc de la ville.
Eleanor : Je suis tellement contente de te voir !
Mélanie : Moi aussi Elea. C'est tellement bizarre, San Myshuno sans toi !
Eleanor : J'imagine. ça doit être mort sans ma magnifique précense !
Mélanie : Carrément. Mais dis donc, qu'est-ce que tu deviens ? Comment va le petit Alec ?
Eleanor : ça va bien, je suis un peu fatiguée par le boulot en ce moment et Alec fêtera bientôt son anniversaire. Il grandit trop vite.
Mélanie : Et alors, est-ce qu'un nouveau petit est en route ?
Eleanor : Non ! Enfin... Je ne crois pas. Mais toi, donc ? Toujours pas de mini-Pierre en vue ?
Mélanie : On essaye, tu sais.. ça m'inquiète de plus en plus.
Pierre : Salut, Eleanor ! Je suis vraiment désolé mais on doit y aller nous, je vais t'arracher la belle.
Mélanie : Je suis pas un objet !
Pierre : Certes. En tout cas c'était sympa de vous voir !
Mélanie : Oui, vraiment. On essayera de se revoir un peu plus souvent, d'accord ?
Eleanor : Promis.
Eleanor était très heureuse d'avoir pu croiser ses amis. Même si sa vie d'avant ne lui manquait pas tant que ça, c'était tout de même bizarre de passer beaucoup moins de temps avec sa bande.
Le soleil tapait fort, alors Arturo et Eleanor décidèrent de rentrer à l'intérieur de la bibliothèque.
Arturo : Cet endroit ne te rappelle pas quelque chose ?
Arturo : ça passe bien trop vite.
Eleanor : Sois pas rabat-joie, on est encore tout jeunes !
Eleanor avait fêté ses 30 ans il y a quelques mois. Arturo, lui, était plus âgé de deux ans. En tous cas, à leurs yeux, ils étaient encore des jeunes adultes !
Arturo : Je t'aime toi. Bon, j'ai une idée. Il faudrait quand même profiter du soleil !
Eleanor : Où m'emmenez-vous ensuite, monsieur Gomez ?
Arturo : Tu vas voir...
Eleanor et Arturo retournèrent dans la voiture. Il roula une petite heure, alors qu'Eleanor chantait du Joe Dassin sur le trajet, lunettes de soleil sur le nez. Il finirent par arriver à Windenburg, la ville natale d'Arturo.
Elenaor : C'est magnifique ! Je ne suis jamais venue ici.
Arturo : C'est vrai ? Alors ma belle, je te présente les ruines !
Arturo et Eleanor s'installèrent au soleil. Arturo n'avait pas oublié de prendre les maillots de bains sans le dire à sa femme - il ne voulait pas gâcher la surprise ! Ni une, ni deux, Elea se mis en position pour plonger. Il faisait tellement beau ce jour là ! Tout était parfait.
Eleanor : Je suis le maître du mooooooonde ! Youuuuuuuuuuuouuuuuh !!
Ils s'amusèrent comme des enfants. Eleanor était un peu nostalgique en éclaboussant son mari qui, lui, essayait de lui attraper les jambes. Je veux que l'on reste comme ça pour toujours, pensa t-elle. C'est comme au début de notre relation... So comedie romantique, mais so perfect...
Arturo : Tout va bien, ma princesse ?
Elea : Oui... oui, ça va. Je pense que c'est la chaleur.
Arturo : Repose toi un petit peu. On peut bronzer, si tu veux.
Elea : je t'assure que ça va ! Et puis, j'ai une autre idée.
Arturo : Comment ça ?
Bon, je ne vous fait pas un dessin sur comment la journée s'est terminée...
Alec : J'aime la bolognaise. Je veux manger de la bolognaise toute ma vie !
Alec faisait des phrases de plus en plus complexes.
Le petit bambin était le premier levé ce jour là. Enfin, petit... Son excitation était due à ce que sa mère n'avait cessé de lui répéter la veille "demain, c'est ton anniversaire !!"
Aujourd'hui, donc, c'était son anniversaire.
Après sa sortie avec Arturo, Eleanor avait pris la décision de changer de tête... Elle coupa sa longue chevelure pour quelque chose de plus pratique. Et surtout, peu à peu, elle avait retrouvé sa silhouette d'antan. Elle était heureuse de son choix, heureuse de sa transformation physique. Et puis, de toute façon, elle avait appris à ne plus faire attention au regard des autres. Tout ce qui l'importait, c'était sa famille... et son bar !
Eleanor était toujours As des jus de fruits, mais son salaire lui permettait de vivre confortablement et elle n'avait pas envie d'avoir de nouvelles responsabilités pour le moment. Peu à peu elle avait repris son éternelle confiance en elle et était maintenant sûre qu'elle avait fait le bon choix en devenant mixologue. Alors certes elle dormait beaucoup la journée, mais elle aimait toujours autant préparer des boissons !
Mais c'est pas possible... Qu'est-ce qui m'arrive au juste ?
Alec : Coucou papa !
Arturo : Coucou mon grand. Tu as hâte de souffler les bougies.
Alec : Je veux gâteau.
Arturo : Je me doutais bien que c'était la seule chose qui t'intéressait dans le fond.
Arturo avait décidé de faire porter à Alec sa tenue renard qu'il trouvait beaucoup trop mignonne. Il fallait bien en profiter : très très bientôt, il ne rentrerai plus dans ses vêtements de bambin.
Eleanor avait décidé d'inviter Mélanie à se joindre à eux. Elle avait finalement réussi à tomber enceinte ! Elle n'était qu'au premier trimestre mais avait déjà des tas de doutes sur la suite des événements et sur quel type de maman elle serait.
Elea : La grossesse te va à ravir !
Mélanie : J'espère bien !
Elea : Tu vas voir, c'est magique d'avoir un enfant. Alec est ma personne préférée au monde.
Mélanie : Je veux bien te croire... Qui d'autre as-tu invité ?
Elea : Marie, seulement. Je ne l'ai pas vu depuis longtemps. C'est juste une petite fête.
Eleanor ne vit pas la moue que fit Mélanie en entendant le prénom de sa rivale... d'ailleurs, elle ignorait même qu'elle était sa rivale.
Marie arriva quelques minutes plutard. Le temps qu'Eleanor termine le gateau qu'elle préparait pour Alec, les invités et Arturo allèrent jouer dehors avec le petit garçon.
Alec : C'est qui ?
Arturo : C'est Marie.
Alec : Jolie garçon.
Mélanie éclata de rire.
Arturo : Faites comme chez vous, surtout !
Mélanie : Merci, mais quand je suis chez Elea, je suis chez moi !
Marie : Merci Art... Je peux te parler ?
Arturo : Non, il est l'heure de fêter l'anniversaire de mon fils.
Joyeux anniversaire Alec !
Roooh ils sont mignons sur la dernière image.
Arturo avait fait appel à Pierre pour l'aider à installer les meubles IKEA achetés pour la nouvelle chambre d'Alec. Ils avaient tous deux sortis les cartons de la voiture, pour les reste, c'était Eleanor qui avait réussi à fabriquer la chambre de son fils. Les hommes, au bout de 30 minutes, avaient lâché l'affaire. Girl power !
Eleanor était fière d'elle. Elle trouvait la chambre adorable et gardait son vieux style qui plaisait tant à Alec. Encore aujourd'hui, il avait rappelé à ses parents à quel point le vert était sa couleurs préférée !
Alec : Papa, maman, je suis rentré !
Le petit bambin était devenu un garçon très mignon, et, comme sa mère l'est elle aussi, sûr de lui. Il avait décidé de garder ses cheveux longs. Eleanor en était ravie : elle adorait les cheveux de son fils. Arturo, un peu moins : il aurait bien aimé couper les cheveux d'Alec lui même ! En tout cas, Alec était toujours poli et de bonne humeur. Il ressemblait comme deux gouttes d'eau à son papa.
Eleanor : Alors, comme c'était aujourd'hui à l'école ?
Alec : C'était marrant, comme il a fait très beau aujourd'hui la maîtresse nous a laissé jouer dehors un peu plus longtemps pendant la récréation, on a fait une balle aux prisonniers !!
Eleanor : Tu te plais dans cette école mon chéri ?
Alec : Oui !! Je ne connais pas encore grand monde mais ils sont tous gentils avec moi.
Après sa petite discussion quotidienne post-école primaire, Alec fit ses devoirs. Il avait un bureau pour ça, mais il aimait être entouré de ses parents. De plus, Arturo l'aidait beaucoup. Il voulait que son fils réussisse et ne perde pas sa rigueur... Alors qu'Eleanor, elle ne lui mettait pas trop la pression.
En fin de journée, Alec joua aux échecs. Il s'agissait du cadeau de Mélanie, la meilleure amie de sa mère, qu'Alec aimait bien. Arturo avait appris à son fils comment y jouer et maintenant il en était accro ! Il aimait réfléchir aux différentes techniques qu'il pouvait développer.
Alec : Maman ne reviendra pas pour me dire bonne nuit ?
Arturo : Tu dormiras déjà, elle finit de travailler assez tard.
Alec : C'est pas grave. Elle est bizarre en ce moment non ?
Arturo : Un peu fatiguée je crois. Hé, ne t'inquiète pas mon bonhomme. Et puis elle viendra te faire un bisous quand tu dormiras.
En réalité Alec n'était pas le seul à s'inquiéter. Arturo ne le disait pas, mais il voyait bien qu'Eleanor n'était pas très en forme, fatiguée, souvent malade depuis quelques semaines. Elle était allée chez le médecin quelques jours plutôt pour une prise de sang. Et si c'était grave ?
Mais Alec arriva en trombe dans la cuisine.
Alec : Papa !! Papa !!! Un monstre sous mon lit !!!
Arturo : Super Papa à la rescousse mon grand.
Il n'y avait bien sûr aucun monstre sous le lit de son fils, pourtant il paraissait paniqué. Il prit le premier produit ménager qu'il vit, enleva l'étiquette et vint mettre du produit sous le lit du petit qui, d'un coup, semblait vraiment soulagé.
Arturo : Dors maintenant.
Une heure plus tard, alors qu'Alec dormait et qu'Arturo somnolait sur le lit en attendant sa femme, Eleanor arriva à la maison, épuisée mais heureuse. Non, elle n'avait pas obtenu de promotion, mais son médecin l'avait rappelé alors qu'elle était en service. Elle n'était pas malade. Elle avait une très bonne nouvelle et elle devait en informé son mari le plus rapidement possible !!
Arturo : Quoi ?
Elea : Tu as bien entenud.
Arturo : Mais, je pensais que... qu'on y arriverait jamais...
Elea : Si !! Je suis enceinte !! On va avoir un nouveau bébé !!!
Arturo : Viens dans mes bras !!
Et après le divorce !
Non, je plaisante.^^
Il est vraiment tout mignon en enfant Alec !
Hooo il est tout mimi Alec !
Enfin un nouveau bébé ! Une fille ! Une fille ! Une fille ! <= Tous ensemble !
Merci Lady et Choute !
Voilà le chapitre 31. Excusez moi pour le retard mais les vacances arrivent je serai plus active. Et puis vous avez tous hâte de découvrir la suite, pas vrai ? Dites vous qu'en jeu mon héritière de la génération 4 est déjà née
- Dis moi, Art... On sera ensemble pour toujours, pas vrai ?
- Pour toujours. Pour toujours et au-delà.
Le petit Alec mûrissait de jour en jour. Certes, il était toujours aussi collé à papa-maman, mais il arrivait à se faire des amis dans son école et arrivait même à se passer du bisou sur la joue d'Elea avant de partir à l'école !
Alec : J'y vais, papa, à ce soir !
Arturo : Travaille bien Alec, et pas trop de bêtises !
Alec : Pas trop !
à ce niveau là, les parents du petit garçon n'avait aucun souci à se faire. Il tenait lui-même à être le premier de la classe ! Pour lui, être sage et travailleur était dans l'ordre des choses.
Arturo, après avoir servi le petit déjeuner de son fils, fila sous la douche. Aujourd'hui Eleanor était en congé. Sa grossesse l'épuisait bien plus que la précédente, elle dormait pendant des heures et ne cessait de se plaindre de douleurs.
Eleanor ne s'appitoye JAMAIS sur son sort, pensait son mari. Plus le temps passait et plus il s'inquiétait. Alors, il faisait en sorte d'être parfait pour soulager un peu Elea.
Art fit un peu de rangement avant de rejoindre le jardin pour pêcher tranquillement en attendant le midi, où Eleanor serait sûrement réveillé. Il aimait se retrouver seul pour penser à sa vie. Il avait fauté avec Marie, c'est vrai. Mais il était tellement amoureux d'Elea. Il s'était juré de ne jamais recommencer.
Encore une magnifique journée qui commence !
Eleanor faisait en sorte de voir le côté positif de chaque journée pour ne pas penser au fait qu'elle était anormalement épuisée en ce moment.
Les deux époux passèrent l'après-midi ensemble, à papoter assis sur les marches de la maison, main dans la main. Et à s'embrasser, aussi. Avoir un petit garçon à la maison réduisait leur possibilités de se bécoter comme jamais. Au retour d'Alec, Arturo était parti faire les courses et Eleanor lisait. Elle n'avait pas eu le courage de s'habiller aujourd'hui.
Elea : Tu as passé une bonne journée, mon grand ?
Alec : Oui, beaucoup ! On a eu la meilleure note avec Jean. Pour notre exposé.
Elea : Jean, c'est cet ami qui vis dans le quartier, c'est ça ?
Alec : La maison d'en face. On pourra aller le voir un de ces jours ? Qu'on puisse jouer !!
Elea : Promis chaton. Fini tes devoirs avant que papa rentre, après, on va prendre un bon petit plat !
Pendant qu'Eleanor cuisinait, père et fils jouaient aux échecs. Arturo adorait apprendre des choses à son fils. Leur relation était parfaite à ses yeux. Il voulait être le meilleur père possible. Lui n'avait pas eu autant de chances...
Cela faisait longtemps qu'Elea voulait avoir son propre jardin, et elle décida de profiter de ses congées pour planter ses premières graines.
Une nouvelle journée s'était écoulée chez les Pécriaux Gomez. Pourtant, ni Elea, ni Arturo...
et ni Alec ne savait que ce calme là était celui qui précédait la tempête ...
Dernière édition par Queenie le 2018-06-03, 14:30, édité 1 fois
Trop de suspens! =O
Voilà, c'était le commentaire constructif de Dada pour te dire que je suis ton histoire dans l'ombre
Merci beaucoup Dada ça fait plaisir de savoir que tu lis mon histoire !
Un soir, Eleanor reçu un coup de fil, un coup de fil venant de l'hôpital de San Myshuno.
Elea : C'est pas vrai ? Ohhhhhhhhh trop mignon !!! Je peux venir le voir ? Je suis trop heureuse pour toi !!!
Le lendemain, Alec se réveilla particulièrement tôt. Il croisa sa maman qui préparait des boissons - bien évidemment, elle ne les buvait pas ! - le cycle de sommeil de cette dernière était totalement perturbé. Enfin, elle était tout de même heureuse de pouvoir voir son bout de chou avant qu'il ne parte à l'école.
Arturo : Alors, toujours pas de petite copine ?
Elea : Oh, Art, lâche le avec ça !
Alec (rougissant) : Euh, non. Mais j'ai des copines et des copains !
Elea : C'est le plus important mon bébé. Et toi, Arturo, arrête de lui poser cette questions trois fois par jour, je ne veux pas être grand mère !!!
...depuis ce jour, Alec crût comprendre que les bébés se faisaient en s'embrassant sur la bouche.
Alec : Monsieur gros nounourse je viens d'apprendre quelque chose. Je crois que j'ai compris comment on fait les bébés.
Arturo s'habituait de plus en plus à son nouveau rythme de vie. Le matin il pêchait et s'occupait du jardin d'Elea et l'après-midi il passait du temps avec son fils, notament pour l'aider dans ses devoirs.
Eleanor abandonna son mari pour aller rendre visite à Mélanie et Pierre : ils venaient d'avoir un petit garçon nommé Hugo ! Elea avait été si heureuse d'apprendre qu'elle était marraine qu'elle aurait voulu prendre la voiture et débarquer à l'hopital au moment même où sa meilleure amie accouchait.
Cela lui fit du bien de revoir la ville où elle avait commencé sa vie d'adulte. Mais après avoir passé quelques longuuuuues heures dans les embouteillages, elle finit par se dire que rien ne vaut le calme d'un petit bled paumé.
Elea : Où est le bébé !!! Je veux voir mon filleul.
Mel : Vas-y, entre, je t'en prie !
Pierre : Salut, Eleanor !
Elea : Il est super votre nouvel appartement !
Pendant que Mélanie nourissait son petit, Eleanor s'installa sur le canapé avec Pierre. Ce dernier rayonnait.
Elea : ça fait drôle de te voir comme ça ! J'ai toujours cru que tu ne savais pas sourire.
Pierre : Haha, très drôle. Alors, ça me va bien ?
Elea : Plutôt oui. ça te fait quoi d'être père ?
Pierre : Je suis une nouvelle personne, c'est dingue comment un si petit humain peut changer la vie à ce point.
Elea : Ne te repose pas trop, tu ne le verras pas grandir.
Pierre : Et bah tu sais quoi, ça, ça ne me fait pas sourire.
Mel : C'est bon, il a fait son rôt, tu peux monter !
Elea : Comment tu es mignon toi ! Tu seras ami avec mes enfants ça c'est certain. Tu seras ami avec Alec et tes propres enfants seront amis avec mes petits enfants. Tout le monde va bien s'entendre tu peux me croire.
Mel : Mais dis donc toi ça pousse !
Elea : En effet ! Et c'est particulièrement éprouvant. Je ne sais plus où donner de la tête. Je n'ai pas autant galéré avec la grossesse d'Alec !
Mel : ça ira, ton bébé fais juste le capricieux. Il me tarde de voir sa bouille. Vu comment le mignon Alec est carrément-trop-chou, je suis sûre que tu vas nous sortir des poupées en porcelaine.
Elea : Avec Arturo comme père c'est certain !
Avant de repartir chez elle Eleanor décida de faire un petit tour dans son ancien quartier. Elle vit le premier bistrot dans lequel elle avait travaillé, son vieil appartement, le parc dans lequel elle et ses amis se réunissaient...
Arturo : Alors ma chérie ça c'est bien passé ?
Arturo : Mais il est 16 heures !!
Elea : On ne contrarit pas une femme enceinte.
Bienvenue Hugo ! Hâte de voir sa bouille bambin !
Alors Elea, c'est pour quand le deuxième ? On veut voir sa tête !
Et comment ça, c'est le calme avant la tempête ? !
Moi j'attends la tempête en mode diabolique ! J'aime le piment dans les histoires. Et j'ai hâte de voir son deuxième enfant. J'espère que ce sera une fille ! Et félicitations à Mel pour la naissance d'Hugo ! Vivement la suite !
Chouchou ~ Ouiiii ! Je n'avais pas le MC controler à l'époque donc j'ai du faire entorse à la règle pour aller faire tomber enceinte Mel, mais ça en vaut la peine, c'est bien de la revoir elle et sa petite famille dans le challenge !
Misky ~ Je suis contente que ça te plaise toujours autant ! Héhé vous allez avoir vos réponses dans ce nouveau chapitre et je suis plutôt contente car pour le moment personne n'a idée de ce qui va arriver.
Malheureuse vous allez encore devoir attendre quelques jours pour les réponses à vos questions ~ Mais ce sera bientôt bon, promis !
Alec était triste en ce moment à l'école. Lui et son ami Jean n'arrêtaient pas de se disputer ! Et puis, quand il rentrait à la maison, son père avait l'air tellement heureux qu'il n'osait pas lui parler de ses problèmes. Il ne voulait pas ternir son humeur si joyeuse... Quand à sa mère, il ne la voyait plus beaucoup. Elle dormait très souvent et elle avait l'air malade.
Heureusement, le petit garçon savait se faire violence et essayait de se concentrer sur des choses concrètes pour ne pas éclater en sanglots. La raison de leur dispute était stupide : Alec a trouvé une fille jolie et l'a dit à Jean... Et il s'avérait en fait que cette jolie blonde n'était d'autre que la soeur de Jean !
C'est stupide, l'amour. D'ailleurs je l'aime pas. Elle est juste jolie. Et Jean, il est méchant.
Arturo profitait de l'absence d'autorité d'Elea (elle était trop fatiguée pour dire quoique ce soit) pour permettre à Alec de manger devant la télévision tous les soirs de la semaine. En fait, cela lui plaisait également beaucoup...
Il avait hâte d'être de nouveau papa. Il attendait le nouveau venu avec impatience. Même si, malheureusement, un problème qu'il n'avait pas imaginé commençait à se faire ressentir : la paye pour les congés d'Elea n'était pas assez importante pour couvrir tous les frais liés au bébé. Le papa n'en parlait pas à son fils - il ne voulait pas l'inquiéter - mais il se devait de faire attention aux dépenses s'il voulait offrir une vie convenable à ses enfants. Alors, il gardait le sourire quoi qu'il arrive.
Eleanor passait son temps à dormir, à se lever, à regarder la télé et à retourner se coucher à cause des douleurs. Arturo se sentait un peu seul mais il ne pouvait pas baisser les bras. Il se devait de faire tourner la maisonnée en attendant que la matronne se remette de cette grossesse éprouvante.
Alec avait une tactique pour voir sa mère (et surtout avoir quelques bisous) : tous les soirs, il se plaignait des monstres sous son lit. C'était idiot : il savait depuis longtemps que les monstres, ça ne se cachent pas sous les lits des enfants sages ! Cette machination marchait bien.
Alec : Tu m'aimeras toujours quand le bébé va naître ?
Elea : Mais oui mon coeur ! Je vous aimerai très très très fort tous les deux. Je sais que ce n'est pas très rigolo en ce moment mais ta maman te reviendra en forme très bientôt.
Alec : Encore combien de dodo ?
Elea : Encore 7 dodos. 7 dodos et tu seras un grand frère !
Alec : J'ai hâte ! Je vais me coucher, le temps passera plus vite.
Sa discussion avec son fils avait requinquée Eleanor qui se leva du bon pied le lendemain. Elle avait envie de profiter du soleil. Elle continuait de s'occuper de son jardin.
Elea : Allez, mon chat, tu me promet de te réconcillier avec Jean aujourd'hui ?
Alec : Promis maman. Et tu me promets de pas avoir mal au ventre ?
Elea (ravalant un vomi) : Promis.
Eleanor avait reçu un colis venant de ses collègues : une banderole pour célébrer la meilleure mixologue de l'établissement ! Elea avait trouvé cela très touchant et s'était empressée d'installer la récompense au dessus de son bar. Et puis...
Arturo avait aménagé une petite chambre pour le bébé qui allait bientôt naître. Elle était assez petite, compte tenu du budget très serré de la petite famille. C'était pour très bientôt...
"Elea ravala son vomi" Berrrkk !
Ne t'inquiètes pas Alec, les amis ça va ça vient !
Bon, la chambre jaune ne nous donne pas beaucoup d'indications sur le futur bébé hein !
Choute ~ Merci pour ton commentaire ! En effet je brouille les pistes Allez, vous saurez tout ça très bientôt, un peu de patience !
Arturo était de bonne humeur ce matin là. En arrosant les plantes, il pensa qu'il fallait profiter de cette journée : Eleanor allait bientôt accoucher, et Dieu sait qu'un bébé sur les bras leur prendrait tout leur temps. Et il faisait si beau ce jour-là !
Eleanor : On ne va jamais ici. C'est dommage, c'est un jolie parc.
Arturo : Je suis contente que ça te plaise. Il faudra emmener Alec à l'occasion. Il y a des tas de jeux pour enfants.
Eleanor : Quand il va apprendre que ses parents se la coulent douce pendant qu'il est à l'école !
Arturo : Oh, mais il oubliera très vite cette trahison quand il découvrira son petit frère ou sa petite soeur.
Arturo : D'ailleurs, tu veux une fille ou un garçon ?
Eleanor : J'aimerai bien avoir une jolie petite fille. Comme ça, ce sera la mixité chez nos enfants !
Arturo : Moi, j'ai l'impression que ce sera un garçon. Je l'imagine déjà se chamailler avec son grand frère.
Après avoir discuté quelque temps en s'échangant des regards amoureux, Arturo parti pêcher un peu pendant qu'Eleanor se prélassait au soleil.
Le couple ne tarda pas à rentrer. Alec allait bientôt rentrer à la maison lui aussi.
Elea : Alors, l'école s'est bien passée ?
Alec : Oui très bien. On pourra regarder un film ce soir ?
Elea : Avec ton père si tu veux, mais moi je ne serai pas là, je te l'ai dit. Il y a un repas de mariage ce soir et je suis d'astreinte.
Alec : Mais tu es enceinte !! Tu peux pas travailler !!
Elea : Ne t'en fais pas bonhomme. ça me fait plaisir d'aider.
Après avoir discuté avec son fils, il se mis au travail. Et Eleanor était là pour l'aider.
Alors qu'elle s'occupait de son petit bonhomme, Eleanor ne cessait de penser au travail. Certes, elle était bientôt à terme et c'était dangereux de travailler dans ces conditions : elle allait vite se fatiguer. Mais cette opportunité s'est révélée être une bénédiction... Elle sera en effet grassement payée pour ce travail et la famille ne roulait pas sur l'or en ce moment.
Alec : Dis papa, tu penses que maman va s'en sortir ce soir ?
Arturo : Bien sûr chéri. Je n'étais pas pour qu'elle y aille mais elle ne risque rien.
Arturo : Ce n'est pas ce que j'ai dis.
Alec : Ahaha. Je t'ai bien eu.
Malheureusement rien ne se passa comme prévu.
Eleanor avait trop mal au ventre pour continuer à tenir la soirée : elle rentra à la maison pour se reposer quand elle perdit les eaux en plein milieu de la route. Ajouté à cela les embouteillages, le travail avait déjà bien commencé quand elle arriva à la maison.
Elea : Arturo ? Arturooooooooooooooo !
Il la conduisit à l'hopital.
Arturo : Oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieu.
Elea : Je ne me sens pas bien du tout Art...
Et Eleanor n'était pas du genre à se plaindre.
Elea s'évanouissa en rentrant à l'hopital. Une dizaine de personnel s'était agglutiné autour d'elle et Arturo ne comprenait rien à ce qui se passait. Il était terrorisé par la peur. Heureusement, on finit par le laisser entrer dans la salle d'accouchement.
Arturo : Dites moi que ça va aller...
Une grosse surprise les attendait...
Ho Elea ! Que nous fais tu !
Une grosse surprise ? Serait ce un coup double ?
Trop de suspens!
Vois même un compte triple!