[Clos] Le défi d'Alphonse

J'ai voté pour Time, j'adore les couleurs de l'automne et les animaux rendent le tout original !

Mais je t'en prie Daroloriia, c'était normal ^^

Hé bah pas facile de voter !
Vos images sont toutes différentes les unes des autres (avec mention spéciale à Time pour les animaux !!) mais je fonds toujours pour les cascades, j'ai donc voté pour Isis

Ce fut serrer ! Bravo les filles !

Bravo Dalo !

Bravo à tout le monde ! Et en particulier à Dalo ! Mon nouveau fond d'écran.

Bonjour, bonjour ! Vous voici à nouveau réunis pour un défi tout beau, tout neuf ! Oui, je sais, mon costume est affreux, mais j'ai été contraint et forcé de mettre ça pour présenter le défi de ce mois, allez savoir pourquoi ! (je crois bien que les animatrices ont eu un gros coup de mou, une sorte de page blanche du style et qu'elles n'ont trouvé que ça pour coller un peu au thème... Moi, ça me contraint à être totalement ridicule, et il faudra bien que je me venge !)

Alors, vous le savez très certainement, dans les Sims 4, il manque certains add-on que les joueurs réclament à corps et à cris, sans en voir l'ombre se profiler.  Par exemple, le retour des animaux ferait le bonheur d'un grand nombre.

Et là, vous vous demandez où je veux en venir. Non, je ne vais pas vous demander de prendre en photo un animal, ni d'écrire une pétition aux concepteurs du jeu, ni de sortir banderoles et slogans pour faire grève en attendant l'arrivée hypothétique de nos amis à poils et à plumes (les écailles, j'aime pas !).

Non, aujourd'hui, vous allez devoir écrire un texte (et oui, un défi écriture comme vous les aimez, mes petits coquins). Mais il y a quelques petites contraintes contraignantes qui vont vous contraindre à.... Hum bon, OK, pardon pour les répétitions, pas la peine de s'énerver, les orangettes ! Je vais m'appliquer. Bon revenons à nos contraintes : vous allez devoir écrire un texte à la première personne (utiliser le "je" pour ceux qui n'ont pas suivi les cours de français de Madame Jécribien). Ca, c'est la première contrainte. La deuxième : vous incarnez un animal (celui de votre choix, escargot ou requin baleine).

Pour le thème ? Et bien en fait, je crois que vous le connaissez déjà, grâce aux contraintes : vous devez écrire un épisode de la vie trépidante d'un animal. Vous avez pas mal de liberté, donc, finalement, malgré les contraintes (non, mais cherchez pas, j'ai parié avec Pauline que je parviendrai à dire "contrainte" et ses dérivés cinquante fois dans mon speech, j'en suis à combien d'ailleurs ? mince seulement 10 ? Rha ! elle va gagner !)

Alors, prêts à relever le défi ? On y va alors !

• Vous devez écrire un texte à la première personne tout en incarnant un animal. Vous devez raconter un épisode de sa vie.
• Le texte ne devra pas dépasser les 500 mots.
• Vous pourrez modifier votre participation tout au long du défi et ce jusqu'à la date butoir.
• Vous avez jusqu'au 25 Décembre 19 heures (Noël !!!!!) pour poster votre création à la suite de ce post.
• Un vote sera ensuite mis en place pour déterminer le gagnant.
• Le gagnant verra sa participation mise à l'honneur sur le portail durant tout le mois de Novembre.

Daloriia :

Le Voyage du petit être

La petite brise s'écrasait contre moi, me faisant reculer tellement elle était forte. Un petit fragment de vent qui me paraissait comme une bourrasque, une tornade. Contrairement à mes confrères, je n'avais pas leur résistance commune contre les intempéries et autres fourberies de Dame Nature. Non, moi j'avais mieux.

J'avais la force. Oui. Une force qui pouvait de me faire porter 60 fois mon propre poids. Et puis j'étais le maillon d'une chaîne sans fin de vie, donc je pouvais me vanter de ma condition physique. Mais, car il y a toujours un mais... Je vais vous raconter l'histoire de ma mort.

C'était un jour lumineux, il n'y avait pas de vent -et tant mieux- et malgré les ordres contraires qui m'avait été donné, j'ai choisi de m'excentrer de ma fratrie, de ma famille pour partir à la découverte du monde. J'avais marché pendant des heures, même des jours, à travers la végétation luxuriante, les branches recouvertes de mousse, les feuilles qui me recouvraient. Mon périple était magnifique jusqu'à l'arrivée.

Ce jour-là, j'étais arrivée sur une branche différente des autres, rachitique et un peu blancharde. Cela m'avait étonnée mais je n'avais pas vraiment relevé devant le paysage extraordinaire qui s'affichait devant moi. Un gros cube avec des trous où un monstre immense y sortit. Blond comme le blé et se dandinant de gauche à droite maladroitement. Et il fonçait droit sur moi.

Je pris le rôle du diplomate et descendit de ma branche, à la rencontre de cet étrange être puis me mis en évidence pour qu'il me remarque. À mon niveau, cette chose frappa dans ses mains et piétina le sol en bafouillant des mots incompréhensibles. Puis leva le pied dangereusement au dessus de moi et le descendit de plus un peu près de moi. Ma moitié de mon corps n'était plus qu'un amas sans forme.

J'allais être écrasé entièrement quand un être supérieur rappela la chose qui se retourna à temps. J'étais sauvée.

Mais toute mon insouciance face à ce qui étaient des humains était morte avec mon arrière-train. Je voulais vengeance. La fourmi voulait vengeance pour le mal qu'on lui avait volontairement fait.

Lisaluna :

Bien caché derrière un arbre, ça fait un moment que je me dévisse le cou pour l’observer. La tête haute, l’allure fière, il parade sur sa branche depuis qu’il y est perché. Non mais, il se prend pour le Roi de la forêt ou quoi ? J’aime pas les créatures hautaines, j’ai jamais aimé ça. J’ai bien envie de lui rabattre son caquet, tiens ! Grand-mère s’rait pas trop d’accord, c’est sûr, je l’entends d’ici me dire « ne t’approche pas de ces oiseaux, ils annoncent le malheur ! ». Oui, mais bon, moi, j’suis pas superstitieux et puis pas question d’être effrayé par une bestiole à plumes, aussi noires et luisantes soient-elles. Qu’est-ce que je pourrais bien inventer pour le faire descendre du piédestal qu’il s’est construit, çui-là ? Qu’est-ce que je vais bien pouvoir tirer de mon sac à malices ?

Oh, tiens, mais qu’est-ce qu’il fait maintenant ? Qu’est-ce qu’il tire avec son bec ? Un fromage ???!!! Il a rapporté et planqué un fromage dans l’arbre ???!!! Oh, belle trouvaille, je le reconnais, c’est un sacré fromage que tu tiens là, mon gaillard ! Mmmmhhh … et qu’il sent bon ! Me voilà par l'odeur tellement alléché que j’en ai les narines et surtout les papilles toutes frétillantes !

Ah, mais, je comprends, c’est à cause de ce gros fromage qui tient à peine dans ton bec que tu fais le beau, que tu te sens si important, si puissant !  Je l’ai déjà dit, j’aime pas les créatures hautaines mais en plus, j’ai faim ! C’est pas d’bol pour toi, l’ami ! Ca me fait deux bonnes raisons de te jouer un de mes tours. Ne bouge pas surtout, laisse-moi un peu de temps pour réfléchir

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J’ai trouvé ! Je vais te caresser dans le sens de la plume, te servir mes plus belles phrases, mon gaillard et foi de renard, c'est moi qui mangerai le fromage, ce soir ! J’arrive !!!

La suite, logiquement, vous la connaissez

Dernière édition par Caroline le 2016-12-11, 10:41, édité 1 fois

Un défi très intéressant ! Avec trois spécimens à la maison, il va y avoir matière à écrire.

Elles se sont perdues lady ou alors certaines personnes s'en sont servies comme décorations de noël .

J'arrive !

La petite brise s'écrasait contre moi, me faisant reculer tellement elle était forte. Un petit fragment de vent qui me paraissait comme une bourrasque, une tornade. Contrairement à mes confrères, je n'avais pas leur résistance commune contre les intempéries et autres fourberies de Dame Nature. Non, moi j'avais mieux.

J'avais la force. Oui. Une force qui pouvait de me faire porter 60 fois mon propre poids. Et puis j'étais le maillon d'une chaîne sans fin de vie, donc je pouvais me vanter de ma condition physique. Mais, car il y a toujours un mais... Je vais vous raconter l'histoire de ma mort.

C'était un jour lumineux, il n'y avait pas de vent -et tant mieux- et malgré les ordres contraires qui m'avait été donné, j'ai choisi de m'excentrer de ma fratrie, de ma famille pour partir à la découverte du monde. J'avais marché pendant des heures, même des jours, à travers la végétation luxuriante, les branches recouvertes de mousse, les feuilles qui me recouvraient. Mon périple était magnifique jusqu'à l'arrivée.

Ce jour-là, j'étais arrivée sur une branche différente des autres, rachitique et un peu blancharde. Cela m'avait étonnée mais je n'avais pas vraiment relevé devant le paysage extraordinaire qui s'affichait devant moi. Un gros cube avec des trous où un monstre immense y sortit. Blond comme le blé et se dandinant de gauche à droite maladroitement. Et il fonçait droit sur moi.

Je pris le rôle du diplomate et descendit de ma branche, à la rencontre de cet étrange être puis me mis en évidence pour qu'il me remarque. À mon niveau, cette chose frappa dans ses mains et piétina le sol en bafouillant des mots incompréhensibles. Puis leva le pied dangereusement au dessus de moi et le descendit de plus un peu près de moi. Ma moitié de mon corps n'était plus qu'un amas sans forme.

J'allais être écrasé entièrement quand un être supérieur rappela la chose qui se retourna à temps. J'étais sauvée.

Mais toute mon insouciance face à ce qui étaient des humains était morte avec mon arrière-train. Je voulais vengeance. La fourmi voulait vengeance pour le mal qu'on lui avait volontairement fait.

Merci

Ah une première courageuse !

Sympa ton texte, Daloriia (désolée, dans un premier temps, je me suis emmêlée les pinceaux dans les pseudos et t'ai appelée Maya ) ! A mon tour de relever le défi

Merciiii Lisa !

Personne d'autre pour se mettre dans la peau d'un être à poils/plumes/écailles/quesaisjed'autre ?

Il est désormais temps de voter ! Vous pouvez retrouver les textes de nos participants juste ici , vous avez jusqu'au 31 décembre, 19h pour voter